Nous relayons l’annonce de la tenue d’une journée d’études organisée par Sébastien Poublanc (@HistorieNumeriQ) consacrée à l’histoire numérique. Elle se tiendra à l’université de Toulouse le 13 juin 2013.
Présentation :
Cliquez ici pour télécharger le programme en PDF « Cette journée s’inscrit dans le cadre du séminaire transversal du laboratoire Framespa et est organisée avec le soutien de l’IUF, de la MSH-T, de l’URFIST et de l’école doctorale TESC.
Elle s’adresse aux chercheurs comme aux doctorants de toutes les disciplines et pas seule- ment en histoire. L’objet de la journée est de réfléchir sur les nouveaux usages impulsés par le mouvement des Digital Humanities dont la Digital History est l’une des émanations.
Les thématiques de certaines interventions sont communes aux différentes disciplines des SHS- ALL (Pierre Mounier, Sean Takats, Franziska Heimburger) tandis que d’autres concernent spéci- fiquement l’Histoire (Serge Noiret et Jean-Luc Pinol). Mais toutes ont pour ambition de réfléchir sur la structuration de l’information scientifique, notamment dans sa façon de traiter les données toujours plus importantes que récoltent les chercheurs. À cette fin, la journée est articulée en deux parties
La matinée est consacrée à une réflexion globale sur la place de l’historien dans la cité et sur les contraintes numériques qui modifient son rapport à ses objets d’étude. Dans une seconde partie, il s’agit de présenter les outils qui permettent de digitaliser sources et production scientifique, tout comme les nouvelles façons de travailler ensemble qui en découlent. »
Interventions
(Pour le résumé des interventions et la présentation des intervenants, je vous invite à visiter le carnet de recherche du séminaire et le site internet du laboratoire Framespa)
- La Digital Public History : histoire et mémoire à la portée de tous ? par Serge Noiret
- Why RRCHNM ? (Pourquoi le RRCHNM ?) par Sean Takats
- Ouvrir l’atelier de l’historien ? Les carnets de recherche sur la plateforme Hypothèses par Pierre Mounier
- L’atelier numérique de l’histoire : mettre la “main à la pâte” numérique par Jean-Luc Pinol
- Veiller, communiquer, gérer – une bibliographie collaborative avec Zotero pour la First World War Studies Society par– Franziska Heimburger
- La source, son historien et l’édition numérique : le paradoxe du navigateur à papier ? par Marion Lamé
Les interventions seront diffusées en streaming sur : http://instruhist.hypotheses.org/